Entretien croisé nº2
Corentin Canesson, Sarah Tritz
Sarah Tritz, une adresse particulière (drawings mail art #studiesaboutlove #studiesaboutmeandpeople), 2020, crayon de couleur et feutre sur papier. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, une adresse particulière (drawings mail art #studiesaboutlove #studiesaboutmeandpeople), 2020, crayon de couleur et feutre sur papier. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, Le Moche, 2014, aluminium peint, acier, cordes. Vue de l’exposition L’oeuf et les sandales, Parc Saint Léger, Centre d’art contemporain, du 15 mars au 25 mai 2014. Photo : Aurélien Mole. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, Sainte Sébastien, 2011. Vue de l’exposition Une femme de trente ans, galerie Florent Tosin, Berlin, 2011.© Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Vue de l’exposition de Sarah Tritz Capriccio cherche comtesse, Bétonsalon - Centre d’art et de recherche, Paris, du 15 mars au 17 mai 2008. Photo : Aurélien Mole. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, My Jacket n°1 (YOU UOY), 2020. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Vue de l’exposition Une année passa et la Comtesse de Marseille songeait encore à ce jeune marin, aux aventures, mais aussi aux épreuves qu’il devait traverser. Voyait-il enfin le monde en sa vérité ? Etait-ce là, la vie comme il la voulait ?, de Sarah Tritz et Abdelkader Benchamma. Galerie de la Friche la Belle de Mai, Marseille, du 30 mars au 28 avril 2007. Photo : J.C. Lett. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, Pizsex Lèche (Theater Computer), 2019 (face). Vue de l’exposition J’aime le rose pâle et les femmes ingrates de Sarah Tritz et 29 artistes invité.e.s, Centre d’art contemporain d’Ivry – le Crédac, du 13 septembre au 15 décembre 2019. Photo : André Morin / le Crédac. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, Pizsex Lèche (Theater Computer), 2019 (dos). Vue de l’exposition J’aime le rose pâle et les femmes ingrates de Sarah Tritz et 29 artistes invité.e.s, Centre d’art contemporain d’Ivry – le Crédac, du 13 septembre au 15 décembre 2019. Photo : André Morin / le Crédac. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, You’d lay your tongue across my art, 2020, sablés ; Doucement, 2020, fourrure, cuir, bourrage. Vue de l’exposition La vie des tables, Centre d’art contemporain d’Ivry – le Crédac, Photo : Marc Domage. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Vue de l’exposition J’aime le rose pâle et les femmes ingrates de Sarah Tritz et 29 artistes invité.e.s, Centre d’art contemporain d’Ivry – le Crédac, du 13 septembre au 15 décembre 2019. Photo : André Morin / le Crédac. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Sarah Tritz, Artist mum teacher (Life is a long journey), 2019, crayon de couleur sur papier. © Sarah Tritz / ADAGP, Paris, 2021.
Corentin Canesson mène ce deuxième Entretien croisé dans l’atelier de Sarah Tritz
Corentin Canesson amorce cet entretien sur la dichotomie « amateur/professionnel » (en référence à l’œuvre d’Ana Jotta présentée dans La vie des tables) pour inviter Sarah Tritz à évoquer ses influences qui s’étendent au-delà de l’art moderne et contemporain, tels l’art brut, l’art folklorique et populaire, le geste enfantin, et comment elles nourrissent son travail. Elle explicite comment elle tisse un lien entre ces formes en se les appropriant, et souligne son goût pour la liberté et l’insouciance du geste, notamment à travers des œuvres adressées.
Ils évoquent également leur rapport à l’expérience curatoriale qu’ils partagent, et le plaisir qu’ils en tirent, ainsi que la dimension politique de leur travail respectif, qui peut être perçue comme non évidente, mais qu’ils soulignent notamment à travers la transmission et l’enseignement, et en regard du contexte actuel.
Son(s)
Entretien croisé nº2 : Corentin Canesson & Sarah Tritz